Le neurofeedback, ou comment contrôler son cerveau pour traiter des maladies
Serait-il possible, en modifiant son activité cérébrale, de traiter des troubles neurologiques ou psychologiques (hyperactivité, épilepsie…) ? C’est ce que propose le neurofeedback, une technique appelée à se développer tant ses résultats sont prometteurs.
L’HYSTÉRIE, LANGAGE DU CORPS
Après un rappel historique, il est présenté une suite de documents cliniques rattachés de près ou de loin à l’hystérie.
Ainsi voit-on : une grande crise de conversion » type Charcot », une décharge motrice involontaire, une aphonie suivie d’une pseudo perte de connaissance, une astasie-abasie, des accidents à type de névrose post-traumatique. Il est également montré des poly-opérés ou des fugueurs amnésiques, des cystalgies à urines claires.
La dépersonnalisation et la déréalisation
Vous souffrez de dépersonnalisation et/ou déréalisation et vous vous demandez s’il est possible de s’en sortir. Vous êtes perdus, vous avez peur d’avoir un grave problème. De plus, vous craignez de ne jamais récupérer votre vie d’avant et d’être bloqué à tout jamais dans ce monde étrange. Pour avoir vécu des épisodes de déréalisation, comme je vous comprends ! C’est extrêmement perturbant. Heureusement, il est possible de s’en sortir et c’est ce que nous avons vu dans cet article. Si c’est trop compliqué et que vous ne savez pas par où commencer, commencez par améliorer votre mode de vie et par faire « comme si » la dépersonnalisation ou la déréalisation n’existaient pas, pour vous concentrer à 100% sur vos activités. Ne restez pas à rien faire ou à ressasser, mais occupez-vous.
Le bal des folles
Au 19ème siècle, le « bal des folles » était une attraction très prisée, un rendez-vous mondain qui réunissait le Tout-Paris autour de femmes atteintes de démence, abandonnées ou simplement fragiles. L’actrice et réalisatrice française Mélanie Laurent adapte à l’écran le roman éponyme de Victoria Mas, et nous plonge dans l’antre du célèbre neurologue Jean-Martin Charcot, où il faisait subir à ses patientes les pires traitements.
Quand la grande guerre rend fou
Pour une autre vision de la première Guerre mondiale et de ses traumatismes, un excellent documentaire …
Augustine
Paris, hiver 1885. A l’hôpital de la Pitié Salpêtrière, le professeur Charcot étudie une maladie mystérieuse : l’hystérie. Augustine, 19 ans, devient son cobaye favori, la vedette de ses démonstrations d’hypnose. D’objet d’étude, elle deviendra peu à peu objet de désir.